Débat sur la fin de vie : déception ou soulagement après le revirement sur le projet de loi
Pour la députée de la première circonscription, « l’avis personnel du Premier ministre ne compte pas. C’est le consensus qui avait été établi en juin, après des mois de travail et de concertation, qui est important. Il est urgent que le travail reprenne là où il en était resté avant la dissolution, c’est-à-dire en tenant compte des deux aspects indissociables de l’accompagnement de fin de vie : les soins palliatifs et l’aide active à mourir.